Le monde du e-commerce prend de plus en plus d’ampleur. Pour se garantir plus de prospects et donc plus de gains dans ce business, il est important d’éviter certaines erreurs et de détenir des astuces efficaces. Découvrez donc quelques astuces pour mieux réussir au dropshipping.
Trouver des fournisseurs de confiance
Le concept même du dropshipping implique une collaboration assez étroite avec certains fournisseurs. Pour éviter tous déboires, il est important de disposer d’une équipe de fournisseurs capables de vous fournir les produits que vous désirez commercialiser. Plus importants encore, ils se doivent d’être dignes de confiance.
D’autre part, la question des fournisseurs est beaucoup plus délicate qu’il n’y parait. Vous le verrez d’ailleurs sur ce site, il est déconseillé de ne disposer que d’un seul fournisseur. En effet, il n’est pas exclu que l’un de vos collaborateurs décide de vous abandonner du jour au lendemain, ou qu’il ne dispose plus des produits qui vous sont nécessaires. Veillez donc à disposer de plusieurs cordes à votre arc.
Pour finir, les fournisseurs doivent être à même de respecter la législation du commerce en ligne. Ce point est probablement le plus indispensable, car c’est à ce niveau que vos règles de collaboration sont définies. Le respect de ces règles vous assure une collaboration à long terme et sans embrouilles.
Créer des fiches-produits bien explicites
En tant qu’intervenant dans le domaine du dropshipping, vous serez amené à créer des fiches-produits. Celles-ci se doivent d’être assez explicites et exemptes de mensonges. En effet, il est important de donner avec précision les caractéristiques des biens que vous commercialisez. Ce point joue sur le crédit que vous accorderont vos futurs clients. Promettre une chose pour en livrer une autre mettrait assurément fin à votre business de dropshipping.
Prenez donc le temps qu’il faut pour bien vous renseigner sur les produits que vous commercialisez auprès du fournisseur. N’hésitez pas à vous concentrer sur les potentiels défauts de ces produits. Ce faisant, vous ne risquez pas de vous faire interpeller par des consommateurs insatisfaits.
TVA : prenez compte de votre chiffre d’affaires
Pour éviter la ruine, il est primordial de faire une projection du chiffre d’affaires que vous pourriez engranger avant même de choisir le statut de votre entreprise. Selon ce dernier, vous aurez ou non à payer un certain montant de TVA que vous paierez à l’État. En calculant votre chiffre d’affaires, vous pourrez en déduire si vous dépassez ou non le plafond défini et renouvelé par l’État chaque année.
Si vous ne dépassez pas ledit plafond, vous pourrez déclarer votre société comme une autoentreprise et vous ne paierez ainsi aucune TVA. Dans le cas où vous dépassez le plafond défini, vous aurez comme statut juridique : SARL, EURL, SASU ou SAS. Vous paierez donc une TVA dans ce cas.
Pour la collecter, il vous suffit de considérer la TVA du type de produit que vous vendez et de l’ajouter au prix du produit que vous vendez. Aussi, il faudra veiller à ne jamais en modifier la valeur étant donné qu’elle est fixée par l’État. Vous verrez ensuite cette TVA à l’État, selon que vous ayez opté pour une déclaration bisannuelle ou mensuelle.